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  • alixelewis

Recit BDSM - Captive Lust: Une danse de cellophane et de soumission

Un mardi matin grisâtre, l'air portait une promesse d'intensité que seule une rencontre avec Alixe pouvait offrir. Son profil en ligne était toujours aussi captivant, chaque image parfaitement choisie pour cacher son visage, mais révéler assez pour laisser libre cours à l'imagination. Ce n'était pas la première fois que je la voyais, et chaque rendez-vous était une nouvelle exploration de mon désir et de ma soumission.

Son donjon, perché au sommet de Liège, était un sanctuaire pour les âmes qui cherchaient la délivrance dans la domination. Alixe, 30 ans, était la prêtresse de ce temple de la dévotion. Brune et magnifique, elle dégageait une énergie qui était à la fois douce et brutale, sympathique et sévère. Ses longs cheveux noirs tombaient sur ses épaules comme une cascade d'ébène, encadrant son visage d'une manière qui attirait et retenait l'attention.

Dès mon arrivée, elle m'a guidé vers la croix. Ses mains expertes m'ont rapidement attaché, mes bras et mes jambes écartés, mon corps entièrement à sa merci. Elle a bandé mes yeux, plongeant mon monde dans l'obscurité. J'étais suspendu dans un abîme de sensation, chaque touche, chaque souffle contre ma peau se transformant en une expérience entière.

Ses instruments étaient variés et nombreux, des griffes en acier qui glissaient contre ma peau, laissant derrière elles des traînées de douleur et de plaisir, jusqu'à la roulette à piques qui envoyait des vagues d'anticipation à travers tout mon corps. Chaque sensation, chaque douleur, chaque picotement me rapprochait de la limite de ce que je pensais pouvoir supporter.

Après un moment qui semblait durer une éternité, elle m'a libéré de la croix. Elle m'a guidé jusqu'au centre de la pièce, où deux attaches pendaient du plafond. Avec douceur, elle a attaché mes poignets aux liens, laissant mon corps suspendu en l'air.

Les sensations ont commencé à s'intensifier, chaque nouvelle pratique m'envoyant dans un tourbillon d'émotion et de désir. Alixe a commencé à jouer avec des pinces à mamelons, resserrant lentement la pression jusqu'à ce que je ne puisse que gémir sous la douleur exquise. Puis, elle a apporté une plume, effleurant délicatement ma peau sensible, envoyant des vagues de frissons à travers tout mon corps.

Puis vint le moment de la momification. J'ai été descendu au sol et elle a commencé à dérouler le cellophane autour de mon corps. Chaque tour m'emprisonnait davantage, chaque bruit du plastique me faisait frissonner d'anticipation. Alixe m'a transformé en une chrysalide de désir, chaque couche de cellophane me faisant sentir de plus en plus impuissant, de plus en plus excité.

Une fois qu'elle a été satisfaite de mon emballage, elle a soigneusement percé des trous à des endroits clés. Mon souffle s'est accéléré alors qu'elle dégageait délicatement mon sexe du cocon. La sensation de l'air frais contre ma peau exposée était presque trop.

J'étais à sa merci, incapable de bouger, incapable de résister. Tout ce que je pouvais faire était de ressentir, de profiter de chaque caresse, de chaque sensation que Alixe m'offrait. Et quand enfin elle m'a permis d'atteindre l'orgasme, ce fut une explosion de plaisir, un soulagement et une délivrance qui m'a laissé haletant et épuisé.

C'était l'érotisme de la momification, le désir de la soumission. C'était une danse entre la douleur et le plaisir, entre le contrôle et la libération. Et je savais que j'étais prêt à danser à nouveau.


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